Adaptation et mise en scène
Jeu, chant et création musicale
Jeu et régie lumière
Création vidéo et scénographie
Création lumières
Régie
Dans le jardin du théâtre, le public est accueilli par quatre guides de musée qui le conduisent au départ du parcours. Dans ce musée, est exposée une collection précieuse d’œuvres d’art mais surtout des tableaux vivants composés de présences féminines.
La première partie du spectacle se déroule à l’extérieur du théâtre et à l’intérieur du monde intime de la femme. Ensuite l’espace se couvre, nous passons à l’intérieur des locaux du Théâtricul où nous nous confrontons aux regards extérieurs portant sur la femme aujourd’hui. À ce moment les quatre comédiennes retrouvent un cinquième complice, la vidéo. Arrivées enfin sur la scène du théâtre, les « rôles » s’en vont ainsi que les images. Que reste-t-il ?
La Terre interminable. La Terre inter-minable.
C’est drôle que dans interminable,
il y a terre, il y a minable. C’est curieux.
Ce qui ne se finit pas est minable.
Et inter, tout ce qui se passe
entre tout ce qui ne finit pas est minable.
Curieux, vraiment curieux.
Il faut bien finir ce qu’on a commencé non ?
Je cherche le sens de tout ça.
Comment tout ça a bien pu commencer.
Et qu’est-ce que j’ai maîtrisé dans tout ça ?
Le houlahop et les cerceaux.
Beaucoup plus profond que je ne croyais.
26 juin – 5 juillet 2012
Théâtricul, Chêne-Bourg (Genève)
Photos
Vidéo
C’est drôle que dans interminable,
il y a terre, il y a minable. C’est curieux.
Ce qui ne se finit pas est minable.
Et inter, tout ce qui se passe
entre tout ce qui ne finit pas est minable.
Curieux, vraiment curieux.
Il faut bien finir ce qu’on a commencé non ?
Je cherche le sens de tout ça.
Comment tout ça a bien pu commencer.
Et qu’est-ce que j’ai maîtrisé dans tout ça ?
Le houlahop et les cerceaux.
Beaucoup plus profond que je ne croyais.
Xavier Durringer, Histoires d’hommes